Dans une chaĂ®ne de causalitĂ© que j’observe avec attention, et qui remonte Ă Â fort loin (une pratique venue d’ailleurs ?), après Nord-Littoral dont j’avais Ă©voquĂ© le mĂŞme genre de rĂ©actions ici, voilĂ que c’est maintenant au tour de France 3 Midi-PyrĂ©nĂ©es de se rebeller, avec honneur et courage, conformĂ©ment Ă nos valeurs communes et Ă nos convictions profondes, devant cette vague de peste brune qui ronge actuellement les veines souterraines (et virtuelles) de notre pays sans dessus dessous, de Lourdes  à Bordeaux en passant par BĂ©ziers. Ils ont dĂ©cidĂ© en effet d’exposer en public les traces de vomi des porteurs de peste brune qui se croient tout permis et agissent par consĂ©quent en ce moment avec tant d’impunitĂ©. ça s’appelle un « mur de la honte ».
Voyant cela, la honte de se savoir français Ă l’instar de ces gens sans cervelle avec lesquels on ne veut surtout rien avoir de commun est en effet bien rĂ©elle…
Seul problème : ce sont les gens qui ont encore une conscience, une morale, de l’intelligence et de la culture qui en Ă©prouvent, de la honte. pas les porteurs de peste brune. C’est une rĂ©elle et grave maladie, dont j’observe les symptĂ´mes un peu partout, tant elle est de plus en plus Ă©tendue. J’ai alertĂ© la PrĂ©sidente de la LDH, Françoise Dumont, Ă ce sujet. J’attends la rĂ©ponse avec grande impatience… En attendant, il nous faut donc supporter cela : cet envahissement de notre espace mental et virtuel par des sacs Ă vomi qui rĂ©pandent leur merde sans que les systèmes de modĂ©ration des principaux rĂ©seaux qui se voudraient sociaux mais le sont de moins en moins (qui dans sa vie quotidienne supporterait de tels propos, face Ă face ?) n’y trouvent Ă redire. Proprement scandaleux. Il faut que ça cesse. Et vite. Ses consĂ©quences sont dĂ©sastreuses pour notre Ă©quilibre sociĂ©tal. Tant de haine et de bĂŞtise ne peut conduire qu’Ă Â des bains de sang.
Un million de rĂ©fugiĂ©s arrivent dans une Europe comptant dans les 500 millions d’habitants : c’est une invasion ! 270 personnes dĂ©barquent dans une rĂ©gion de près de 6 millions d’habitants : c’est une invasion !
Finalement, contrairement Ă ce que dit Sarkozy, le Français est plus proche du Romain que du Gaulois : dans AstĂ©rix, je me souviens de cette scène dĂ©sopilante, oĂą un Romain dit Ă son chef : « nous avons Ă©tĂ© attaquĂ© par une bande de Gaulois » ; le chef rĂ©pond : « dĂ©crivez-moi la bande » ; « un petit et un gros », lui est-il rĂ©pondu.
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